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8 décembre 2013 7 08 /12 /décembre /2013 09:13

vargas-copie-1.jpgCeux qui me connaissent ou qui fréquentent ce blog le savent : je suis un inconditionnel de Fred Vargas, un passionné de ses « rompols » que j’ai tous lus et relus sans exception. Je renvoie chacun à l’intégrale des chroniques que j’ai consacrées à ses œuvres et qui figurent dans la rubrique « Coups de cœur ». Chaque fois que je lis ou que j’entends la moindre allusion à Fred Vargas, quelque chose en moi vibre. Ce fut encore le cas récemment en lisant l’excellent polar de Domingo Villar « La plage des noyés » dans lequel il fait référence à Fred Vargas et à Joss, le crieur de rue, son personnage de « Pars vite et reviens tard ». Il n’est pas question bien sûr d’avoir la prétention de me comparer à cette immense auteure mais je retrouve chez elle et expliquées sous la plume de ses exégètes des caractéristiques de ma « méthode romanesque ». Mon prochain polar "Rejoins la meute" est né d'une expression entrevue sur le parapet d'un pont lors d'un périple dans les Cévennes et mal décryptée en raison de la fugacité de la vision ( Cf. mon article sur ce blog dans la rubrique "Mes romans" ). L'idée d'un roman peut donc naître de peu de chose, ensuite il faut se creuser la tête pour construire l'intrigue. C'est un peu la même chose pour mon polar en cours d'écriture, "Les Bavardes", qui est parti d'un tableau. Alors, vous imaginez ma réaction et mon plaisir quand j'ai découvert cet article consacré à la genèse de l'Armée furieuse de Fred Vargas. Vous qui me connaissez, vous comprendrez, en le lisant, pourquoi j'aime tant cette auteure et pourquoi je me sens si proche d'elle.

http://www.lexpress.fr/culture/livre/vargas-on-pourrait-dire-que-c-est-une-imposture_998339.html

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