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16 juin 2015 2 16 /06 /juin /2015 10:50
Coup de coeur : Terminus Beltz, de Emmanuel Grand...
Coup de coeur : Terminus Beltz, de Emmanuel Grand...

~~Quatre jeunes Ukrainiens cherchent à passer illégalement en Europe avec l’aide de passeurs roumains. En chemin, la situation dégénère. En portant secours à l’une des leurs, les jeunes Ukrainiens abattent leurs passeurs. Se sachant désormais en danger, exposés à de terribles représailles, ils se séparent une fois arrivés en France et se dispersent aux quatre coins du territoire. L’un d’eux, Marko, échoue sur l’île de Beltz où, répondant à une annonce, il a trouvé un emploi de pêcheur. Est-il à l’abri ? Des mafieux Roumains sans doute, quoique provisoirement, mais est-il pour autant sauvé face à l’animosité que certains habitants de l’île manifestent envers lui, l’étranger qui vient leur prendre leur travail ? C’est aussi sans compter sur le caractère inquiétant des légendes qui planent sur ce bout de terre où la mort rôde en permanence. Surtout quand on découvre le cadavre mutilé d’un pêcheur de l’île. Menée de main de maître, cette intrigue tient le lecteur en haleine de bout en bout et le dénouement est à la hauteur du suspense. Un excellent premier polar de cet auteur prometteur. A découvrir.

Terminus Beltz, de Emmanuel Grand, Collection Points, janvier 2015, 394 pages, 7 € 90.

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9 juin 2015 2 09 /06 /juin /2015 11:26
Coup de coeur : La résistible ascension de Marcello Ruffian, de Patrick Coulomb...

~~Il y a de petits joyaux qui malheureusement passent presque inaperçus. « La résistible ascension de Marcello Ruffian » est du nombre. Sorti en version numérique chez SKA, il existe aussi en version papier aux éditions du Horsain. Petit par sa taille ( 134 pages ), il est toutefois grand par le talent de son auteur. L’histoire est simple : un candidat marseillais à la députation demande à l’un de ses amis, détective privé et ancien flic, d’enquêter sur son adversaire politique afin de la discréditer. Sauf que ladite adversaire vient à se faire assassiner et que, du coup, les choses se compliquent. Avec ce personnage de Roberto Bresciannini, Patrick Coulomb campe une sorte de double de Nestor Burma. On perçoit dans ce polar des accents de Léo Malet. Rien que le titre annonce la couleur. C’est bourré d’humour, de bonnes références musicales en exergue de chaque chapitre et de clins d’œil comme ce policier qui porte le nom du directeur de collection et ce journaliste qui porte celui de l’auteur. Le suspense est bien entretenu et le style est agréable et efficace. J’ai lu avec délectation ce polar passionnant, amusant et trop court à mon goût. Voilà un auteur qui mérite le détour. La résistible ascension de Marcello Ruffian, de Patrick Coulomb, Editions Ska et éditions du Horsain, février 2015, 134 pages, 8 €.

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8 juin 2015 1 08 /06 /juin /2015 19:14
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...
Le Lavandou : un beau salon du polar...

~~Le salon du polar 2015 du Lavandou est terminé, vive le salon 2016 ! Il est difficile de rendre compte dans sa richesse et dans sa diversité d’une telle manifestation. Néanmoins, on peut souligner la qualité de l’organisation, la convivialité de l’accueil ainsi que le dynamisme et le dévouement des organisateurs qui ont dépensé sans compter leur temps et leur énergie pour permettre aux auteurs de travailler dans d’excellentes conditions. Une mention spéciale aux chevilles ouvrières, Brigitte et Philippe, et à Gérard, le libraire militant, tous désintéressés autour de leur passion : la littérature policière sous toutes ses formes. Il convient aussi de souligner le sérieux avec lequel Marc DURET a joué son rôle de parrain de la manifestation, son sens de l'humour et de la convivialité. A noter la dimension éducative de la manifestation, avec une journée consacrée aux enfants qui ont pu rencontrer les auteurs et suivre des animations de haute tenue, conduites pour certaines par la section de l’identification criminelle de la gendarmerie de Toulon. Un concours de lecture a récompensé les plus sagaces. Le Lions’ club, présent dès l’origine, soutenait la manifestation ainsi, bien entendu, que la ville du Lavandou. La chaleur était au rendez-vous, dans les cœurs comme dans l’air, mais l’univers du polar, c’est forcément « chaud ». Pour s’en convaincre, il n’était qu’à voir comment les invités ont embrasé les deux soirées enflammées autour d’un bon buffet, le vendredi chez Brigitte et Philippe, et le samedi au restaurant La Favouille au cœur du village. Vingt-huit auteurs étaient présents, depuis les plus en vue dans le monde du polar jusqu'aux moins connus mais chacun a pu rencontrer un public passionné quoique moins étoffé qu’espéré. Des signatures cependant et de belles rencontres comme celle de votre serviteur avec une association du Vésinet spécialisée dans l’enregistrement de romans pour les non-voyants et qui m'a dit avoir acquis et enregistré mes polars sur MP 3. Parmi les auteurs présents, on peut citer, un peu en vrac sur ce blog, mais de façon plus détaillée et mieux illustrée sur ma page Facebook https://www.facebook.com/jeanmichel.lecocq.9 : Nils BARRELLON ( La fille qui en savait trop, chez City éditions ), Romain SLOCOMBE qui figurait sur la liste du Goncourt et du prix Interallié, avec ses derniers ouvrages ( Avis à mon exécuteur, chez Laffont ou encore Un été au Kansaï, chez Arthaud ), Jean-Hugues OPPEL ( Vostock, chez Rivages ), Armelle MALAVALLON ( Prix VSD, avec Soleil noir, chez Les nouveaux auteurs ), Jean-Pierre LARMINIER ( Prix du cercle littéraire Médicis, avec Les nuits du gitan, aux éditions Jeanne d’Arc ), Pierre BROCCHI ( Le carnaval des transis, chez Amjele ), David BOIDIN ( Les aventures du concierge masqué, recueil collectif de nouvelles policières ), Claude POUX ( Nazca, aux éditions Bleu 47 ), Fabrice PICHON ( Le sang du passé, aux éditions du citron bleu ), Mathieu FRACHON ( Les aristos du crime, chez Prisma ), Claude ICONOMOU ( Le feu et la pluie, chez Sudarènes ), Claire FASCE-DALMAS ( A cause d’un sourire, aux Presses du midi ), Nicolas AGUILLON et ses polars historiques chez Cormétis, René Le GAL et ses polars varois aux Presses du midi. Parmi eux, des auteurs auxquels j’avais déjà consacré des coups de cœurs sur ce blog tels Romain SLOCOMBE pour « Envoyez la fracture » ou encore Nils BARRELLON pour « Le jeu de l’assassin », finaliste du prix du Quai des Orfèvres. S’agissant des autres, je suis revenu avec leur livre ou j’attends des services de presse pour leur consacrer une chronique. En ce qui me concerne, le salon s’est achevé par une prise de rendez-vous avec Gérard, le libraire, pour une séance de dédicaces prévue le 8 août prochain. En vrac, quelques photos pour illustrer cet article.

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 18:09
Gros coup de coeur : Justicier, de Manon Torielli ...

~~Un village de haute-Provence en plein hiver. Des meurtres commis dans une maison abandonnée. Un commissaire de la PJ marseillaise qui se rend sur place pour enquêter en collaboration avec la gendarmerie. Le décor est planté. Dans une ambiance à la Pierre Magnan, on a l’impression que le fameux commissaire Laviolette resurgit sous les traits de Norbert Tiffauge. Dans un style élégant, servi par une langue imagée, teintée de poésie et savoureuse car truffée d’expressions provençales, Manon Torielli nous livre là un polar de terroir particulièrement réussi. Elle sait créer une atmosphère et un style qui rappellent ceux des polars de Magnan mais avec sa touche propre, originale et particulièrement intéressante. On sent la marque d’un véritable écrivain. L’intrigue est remarquablement bien construite, le récit est prenant. On devine en filigrane, une culture maîtrisée qui ne se donne pas à voir mais s’intègre harmonieusement au récit pour le servir. Les personnages particulièrement bien caractérisés sont à la mesure d’un pays âpre, tourmenté et secret que Manon Torielli connaît bien et qu’on sent vivre sous sa plume. De Barrême à Digne, l’enquête est passionnante, le suspense bien entretenu et le dénouement original. Je recommande la lecture de ce polar talentueux qui vous absorbe pour quelques très agréables heures de lecture.

Justicier ( Silences bas-alpins ), de Manon Torielli, Editions Wartberg, 2015, 285 pages, 11 € 90.

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1 juin 2015 1 01 /06 /juin /2015 17:09
Coup de coeur : Homme sans chien, de Hakan NESSER...
Coup de coeur : Homme sans chien, de Hakan NESSER...

~~Pas de meurtres, juste deux disparitions, au bout seulement d’une centaine de pages. L’oncle et le cousin qui disparaissent, à 24 heures d’intervalle, au beau milieu de la nuit et d’une réunion de famille dans une petite ville de Suède. Un anniversaire qui tourne au cauchemar dans une ambiance familiale délétère. Et puis, une fois survenues ces deux disparitions, une fois passée la phase d’exposition qui nous permis de connaître cette famille, la psychologie complexe de chacun de ses membres et surtout leurs relations pour le moins difficiles et troubles, l’intrigue proprement dite démarre et va s’accélérant. Entre alors en jeu l’inspecteur Barbarotti qui est confronté à une enquête difficile, sans témoins, sans indices, sans aucun de ces éléments qui pourraient prouver qu’il s’agit non pas de fuites volontaires mais de disparitions suspectes. Le temps va passer jusqu’à ce que… Le reste appartient au suspense qui va croissant au fil du roman. Des rebondissements qui succèdent à des révélations, relançant elles-mêmes le suspense, vous tiennent en haleine jusqu’au dernier chapitre. En prime, en fil rouge, la vie personnelle assez hachée de l’inspecteur Barbarotti, nouveau spécimen de flic atypique, personnage néanmoins sympathique, avec ses doutes, ses questionnements, ses errements, ses maladresses mais aussi ses intuitions jusqu’au dénouement. Un excellent polar qui justifie les éloges du journal Le Monde qui évoque « un de ces polars rares, vertigineux, qui ouvrent des abîmes de silence et décélèrent le pouls ». En tout cas, un polar à découvrir en considérant que les cent premières pages sont l’aliment qui va rendre cette intrigue passionnante. Homme sans chien, de Hakan NESSER, Collection Points, octobre 2014, 478 pages, 7 € 90.

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 19:44
Gros coup de coeur : La chorale du Diable, de Martin Michaud...

~~Voilà un roman tenant à la fois du polar et du thriller, une intrigue à vous couper le souffle, la seconde aventure du sergent-détective Victor Lessard qui, une nouvelle fois, n’obéissant qu’à son tempérament va se mettre en danger pour résoudre une affaire de meurtre collectif particulièrement horrible à l’occasion duquel un homme assassine ses enfants et sa femme avant de se mutiler et de se suicider. Mais est-ce bien le père le meurtrier ? N’a-t-on pas plutôt affaire à une mise en scène ? C’est ce que pense Lessard. Contre l’avis de sa hiérarchie, le sergent-détective et son équipe se lancent dans une enquête complexe et qui se révèle très vite dangereuse car elle croise la route d’une confrérie interne à l’Eglise qui n’entend pas que la police vienne entraver ses projets. Cette enquête est d’autant plus douloureuse pour le policier qu’elle le renvoie à son propre passé et à un drame familial qui remonte à son enfance. Elle est aussi rendue délicate par le fait que l’enquête de Lessard va entrer en concurrence avec celle de jacinthe Taillon, une collègue policière qui est son ennemie jurée. Jusqu’aux toutes dernières pages, Lessard mettra sa vie en jeu pour dénouer un écheveau complexe. Cinq cents pages d’un plaisir intense, d’un tourbillon d’action et de suspense auquel on s’abandonne à la fois avec angoisse mais aussi avec jubilation. C’est le second roman que je lis de cet auteur dont le talent est immense et qui devrait très vite émerger au premier plan dans l’univers du polar.

La chorale du Diable, de Martin Michaud, Editions Kennès, mai 2015, 500 pages, 23 € 49.

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16 mai 2015 6 16 /05 /mai /2015 19:35
Très gros coup de coeur : Fenêtre sur crime, de Linwood Barclay...

~~Jusqu’à présent, j’ai lu tous les thrillers de Linwood Barclay et je n’ai jamais été déçu. Ce dernier opus ne déroge pas à la règle. Je pense même qu’il s’agit sans doute de son meilleur ouvrage, comme l’affirme Stephen King. La situation de départ est simple : Ray, dessinateur, rejoint sa ville natale à l’occasion du décès accidentel de son père. Dans la maison paternelle, il retrouve son frère, Thomas, atteint de schizophrénie, largement immature et qui passe le plus clair de son temps devant son ordinateur pour découvrir les villes du monde. Pour cela, il dispose de Whirl360, un logiciel qui permet de se mouvoir dans leurs rues au gré de sa fantaisie. Un jour, Thomas croit avoir assisté, derrière une fenêtre de Manhattan, à un crime. Il entraîne son frère dans ce que celui-ci prend au départ pour un des nombreux délires de son frère qui, par ailleurs, prétend travailler pour la CIA et avoir des contacts réguliers avec Bill Clinton. Mais, Ray décide d’entrer dans le jeu de Thomas afin d’en avoir le cœur net. S’ensuit alors un scénario catastrophe, jalonné par plusieurs meurtres. En combinant plusieurs récits qui, au fil des pages, s’interpénètrent, Linwood Barclay parvient à tisser une intrigue complexe mais savamment construite et à alimenter un suspense croissant. Celui-ci tient jusqu’aux toutes dernières pages pour aboutir à un dénouement que rien ne permettait de deviner. C’est encore une fois du grand art qui confirme la mainmise de cet auteur sur le thriller nord-américain. Pour les fans de Barclay, ce sera une nouvelle source de plaisir et une confirmation du talent de leur auteur favori. Pour les autres, ce sera une façon heureuse d’entrer dans l’œuvre de ce maître du thriller. A découvrir et à déguster comme il se doit. Fenêtre sur crime, de Linwood Barclay, Editions J’ai lu, mars 2015, 540 pages.

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12 mai 2015 2 12 /05 /mai /2015 09:16
Gros coup de coeur : Bien mal acquis, de Yrsa Sigurdardottir...
Gros coup de coeur : Bien mal acquis, de Yrsa Sigurdardottir...

~~La campagne islandaise, des fantômes, une baleine échouée qui se décompose, une dépouille de renard qui effraie les chevaux et un hôtel de remise en forme où l’on retrouve une sexologue, un lecteur d’auras et un tas d’autres personnages originaux… On pourrait presque croire à un univers à la Fred Vargas avec son entrelacs d’histoires, de personnages loufoques et incertains, naviguant à la limite du réel. Mais là s’arrête la comparaison. Pas de flics ou très peu, confinés dans des seconds rôles, dans ce polar qui est purement made in Islande, avec la culture et les codes propres à ce pays étonnant où l’on retrouve ce curieux mélange d’onirisme et de réalisme déjà présent dans les romans d’Indridason. C’est Thora, une avocate, qui mène l’enquête dans cet hôtel isolé que tient Jonas, son client. Celui-ci se plaint du fait que son hôtel est hanté et espère tirer de ce vice caché une indemnisation de la part de ceux qui lui ont vendu le site. Le contexte est complexe, délicat, et porte en lui le souvenir des drames qui s’y sont produits dans un passé plus ou moins lointain. Des meurtres surviennent qui semblent liés entre eux mais qui sont aussi à l’évidence en rapport avec un passé douloureux à des titres divers pour une bonne part des protagonistes. Aidé de son ami Matthew, un ancien flic, Thora parviendra-t-elle à démêler l’écheveau ? Dans un style soigné, Yrsa Sigurdardottir nous livre là une intrigue passionnante, parfaitement ficelée, dont le dénouement ne survient qu’au terme d’un suspense très bien entretenu. Je me suis laissé happer par cette histoire presque hors du temps, captivante à souhait. Un excellent polar à déguster sans modération. Une auteure que je ne connaissais pas et dont je ne suis pas étonné qu’elle rencontre un succès mérité.

Bien mal acquis, de Yrsa Sigurdardottir, Editions Points, septembre 2014, 478 pages, 7 € 90.

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7 mai 2015 4 07 /05 /mai /2015 10:52
Coup de coeur : Le dernier Pape, de Luis Miguel Rocha...

~~Le Vatican, la CIA et la Loge P2 sont au centre de ce livre qui tient à la fois du polar et du roman d’espionnage. Tout tourne autour du décès suspect du pape Jean-Paul 1er. Sarah, une jeune journaliste portugaise, ne comprend pas pourquoi elle a été destinataire de mystérieux documents qui vont lui valoir d’être pourchassée par les agents de ces puissances précitées, inquiétantes et menaçantes et dont les agents sèment la mort autour d’elle. Sans l’aide de celui qu’elle aurait pu facilement prendre pour l’un de ces prédateurs, Rafael, Sarah n’aurait sans doute pas survécu très longtemps. Leurs destins semblent à présent liés mais vont-ils malgré tout échapper à ce monstre tentaculaire qui les pourchasse ? Au fil des 468 pages de ce roman, Luis Miguel Rocha nous balade à la surface du globe, de l’Italie aux Etats-Unis, en passant par le Portugal et l’Angleterre et nous entraîne dans une suite ininterrompue d’actions et de rebondissements qui entretiennent un vrai suspense. Bien écrite, alimentée par une remarquable dimension documentaire, raccrochant avec vraisemblance la fiction à des faits réels, cette histoire m’a vraiment captivé de bout en bout. C’est un excellent thriller qui vaut le détour. Ce fut un vrai coup de cœur.

Le dernier pape, de Luis Miguel Rochas, Editions de l’Aube, mars 2015, 468 pages hors notes, 22 €.

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4 mai 2015 1 04 /05 /mai /2015 10:25
Partenariat...
Partenariat...

La collection Points qui fait partie des éditions du Seuil vient de me proposer un partenariat. Je vais découvrir leurs parutions récentes en matière de polars et, si ces ouvrages me plaisent, je publierai chaque mois une chronique. C'est une expérience intéressante car il s'agit d'un éditeur de premier plan et d'une collection réputée et de qualité. Le premier roman reçu est de Yrsa SIGURDARDOTTIR, une auteure islandaise, et s'intitule "Bien mal acquis". Le texte de quatrième de couverture est alléchant.

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